quinta-feira, 29 de julho de 2010

Nocturno de chopin ( variações )

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Foto Net
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Era esta nota, folha diáfana de choupo, arrepiando ao de leve a superfície das águas do rio, que ouvi sibilina na noite cálida de ontem, olhando a lua cheia e a estrela da manhã, já sabendo que o vento não, nem suão, as árvores paradas, como estátuas, noites do sul, do alentejo serrano, nem vivalma, nas portas e poiais, isso era antigamente: - O astro tá parado, compadre! -Parece que mexeram as folhas agora... Vozes nos caminhos perdidos do tempo... A folha. dizia eu. a nota. com voz de céu. de música, entenda-se. Nocturna. De Chopin. Fez falta ontem neste clima de escorpião, de lacrau, para quem não saiba. Doçura de piano. Vestidos de cetim. Lábios de moça com peitos de regaço. Abraços. Na noite cálida, Chopin fez falta. Ontem à noite. No deserto. Sem tâmaras. .
Mértola, noite de Julho.
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"O tempo nas palavras"
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Texto já publicado por Pedro Martins, em 25/7, em http://aditaeobalde.blogspot.com, agora com ligeiras alterações.

terça-feira, 27 de julho de 2010

E era noite!! ...

O Sol, passou por mim, a sorrir...
E era noite.
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Lx, 21/7/2010
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"Os caminhos do silêncio"
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Foto Net

sábado, 24 de julho de 2010

De Paris trouxe Piaf, com saudade

- Livro: Dans le pas de ...Édith Piaf Autor: Hugues Vassal

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Do livro referido deixo-vos as seguintes notas:

« L'Ange noir de la chanson a cette beauté de l'ombre qui s'exprime à la lumière. Chaque fois qu'elle chante, on dirait qu'elle arrache son âme pour la dernière fois.»

Jean Cocteau
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« Ce n'est seulement ma voix qui chante, c'est d'autres voix. Une foule de voix.»
Édith Piaf
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« Elle apparaît tout de noir vêtue, dans la pénombre, sans armure, sans parure, les mains le long du corps,la tête légèrememt penchée sur l'épaule, comme attentive à la foule, maladroite, inhabile, le regard lointain, bleu, toujours belle dès qu'elle chante, car tout est dans l'organe, puis dans ses mains nues qu'on dirait d'une infante tant elles sont admirables, enfin dans cette perpétuelle offrande des lèvres qui vibrent douloureusement sous les mots ordinaires où ivresse rime avec jeunesse et lancent , face à Dieu, le crie même de la terre! (... )Son histoire est simple: elle part de l'amour, elle arrive à la mort. C'est l'histoire de toutes les filles du peuple, nées de la violence, de la haine ou du hasard, qui sentent à quinze ans leur coeur s'épanouir et qui meurent d'avoir trop aimé des chimères parmi l'índifférence. »
Jean -François Noel
Combat ( 15 mars 1950 )
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« J'ai deux grands amours: l'amour et mon métier, mais il me faut les deux à la fois: si je n'avais pas d'amour, je ne ferais pas bien mon métier, et sans mon métier, je ne pourrais pas aimer.( ...) Je n'ai pas peur de la mort. Cést une récompense, faut la mériter. Sur terre, on est toujors esclave du physique: un rhume, une paire de chaussures qui fait mal, etc. De l'autre côté, on aura les mêmes joie qu'ici mais en beaucoup mieux.(...) Je ne croix pas avoir commis ou fait du mal autour de moi au point de craindre le châtiment. Évidemment, on a tous plus ou moins une mauvaise ou bonne conduite, mais si on compense et agit avec sincérité, je n'ai pas l'impression que quand on se présente devant le grand juge, on ait quelque chose à craindre.( ...) Je n'ai jamais eté déçue par l'amour. Mes amants m'ont apporté une grande expérience. Je ne regrette rien de ce que j'ai fait, de ce que j'ai connu, et si c'était à refaire je recommencerais.»

Édith Piaf
Interview ( 7 Juin 1956 )
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« (...) Il ne restait plus, au coeur de cette salle, qu'une voix et une âme. (...) Une âme qui savait chanter la misère, parce que la misère était restée à sa peau comme um vêtement familier, um vêtement qu'on n'arrache qu'avec des lambeaux de chair.»

Article non signé ,
Quotidien belgue ( Novembre 1953 )
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« La môme Piaf semble être de la famille des forces de la nature. Elle a l'air petite de taille, mais elle a la taille de ses chansons et de ses succès. Son regard porte loin et touche à des horizons tout plantés de miracles, que le désesperé imagine à l'extrême dénouement de ses romans d'ennnuis...»

Léon - Paul Fargue
Nouvelle Revue Francaise ( 1942 )
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« J'adore mon chez moi mais à condition d'avoir l'impression d'y camper.»

Édith Piaf
La Presse ( 24 Janvier 1955 )
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«Tous ceux qui l'ont approchée sont d'accord: Édith Piaf est une femme extraordinaire. On ne peut pas ne pas subir son charme; elle exerce sur les esprits une domination à laquelle on se submet avec bonheur; de sa frêle personne s'échappe un magnétisme qui enveloppe, subjugue, conquiert, ravit.»

Maurice Fleury
Photo-Journal ( 11 décembre 1952 )
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« Je ne regrette ni mes peines, ni mes joies. Mes peines, je remercie Dieu tous les jours de me les avoir données; ça me permet de goûter beaucoup de choses.»

Édith Piaf
« Quant à ma vie privée, la véritable, personne ne la connaît. Les gens ne savent que ce que je veux bien dire.»

Édith Piaf
Paris-Jour ( 27 mars 1962 )
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« Marlène Diétrich s'est montrée por moi d'un dévouement incomparable. Elle me voyait inquiète, tracassée, tourmontée, vaincue ou presque Elle s'est attachée à mes pas, veillant à ne point me laisser seule un instant avec mes pensées. Elle m'a préparée pour de nouvelles batailles et, si je les ai livrées et gagnées, c'est parce qu'elle les a voulues, alors que je crois bien que je ne les souhaitais plus. Je lui en garde une profonde gratitude.»

Édith Piaf
Le Parisien ( 1 er Mai 1958 )
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« Piaf , morte à 47 ans, n'aura été qu'un peu de chair souffrante dans une robe d'orpheline (...). Elle avait son contrepoison: la foi, une foi toute simple, naive, qui donnait à sa voix l'accent du trionphe. Elle chantait pour exister. Elle existait pour chanter.»

Article nom signé
Paris- Match ( 19 octobre 1963 )

terça-feira, 20 de julho de 2010

O Mar e eu

No meu coração tenho o mar:
Com todas as conchas!
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Foto Monte-Gordo, 7/2010
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Eu e o mar

sexta-feira, 16 de julho de 2010

A verdade das palavras

A verdade das palavras.
Mesmo das que rasam
E roçam
E sangram
A própria pele!
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16/7/ 2o10
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Os caminhos do silêncio
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Foto minha